Nous vous proposons aujourd’hui en ensemble de trois dossiers sur le sacrement de confirmation en France depuis quatre siècles jusqu’en 2025.
La pratique du sacrement de confirmation dans notre pays est un indicateur très pertinent des avancées et des reculs de la vie chrétienne dans notre pays depuis le début du XVIIème siècle. « L’Eglise elle-même n’existerait bientôt plus si le sacrement de confirmation cessait d’être conféré », écrit l’éditorial d’une revue dominicaine sur la confirmation.
Dans l’Eglise d’occident, l’évêque, ou son délégué direct, confère le sacrement de confirmation. Son zèle ou sa négligence à conférer ce sacrement a une influence prépondérantesur la vie spirituelle deson diocèse. En effet, ce sacrement est un élément essentiel de l’initiation chrétienne, sacrement qui doit précéderla première communion et le sacrement de mariage. En outre nous avons montré dans des précédents dossiers que, sans le sacrement de confirmation, il n’y a pas de vocation religieuse.
Dans la deuxième partie du troisième document, nous terminons par une analyse quantitative des baptêmes et des confirmations d’adultes qui ont eu lieu en France en 2024 et 2025 à Pâque et à la Pentecôte.
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